La soif d’apprendre d’Isabelle Gagnon

Curieuse et intéressée, lsabelle Gagnon cherche constamment à apprendre de nouvelles choses. Au moment de son entrée chez Rio Tinto en 2000, elle s’est naturellement sentie dans son élément. Au fil des années, c’est avec enthousiasme que cette dernière a saisi les différentes opportunités qui s’offraient à elle, y voyant l’occasion de parfaire ses connaissances et de tisser des liens. À ses yeux, l’organisation propose une foule de défis stimulants!

À quoi ressemble votre parcours au sein de l’organisation?

J’ai fait mes débuts sur l’équipe de pilotage lors du démarrage du laminoir de l’Usine Alma, où j’ai ensuite été opératrice de 2000 à 2010. Durant cette période, j’ai aussi été formatrice pendant trois ans. Par la suite, j’ai travaillé à la répartition pour la distribution du métal chaud interusine et je suis aujourd’hui planificatrice des expéditions – Usine Arvida-AP60. J’adore relever les défis!

Qu’est-ce qui vous a amené à faire carrière chez Rio Tinto?

« J’ai travaillé brièvement dans le domaine de la santé. Le domaine industriel m’interpellait, mais je n’avais jamais eu l’occasion d’expérimenter ce que c’était. J’ai toujours aimé conduire des chariots élévateurs, la machinerie, batcher les fours et donner de la formation. Intégrer une organisation comme Rio Tinto m’a permis de découvrir des aptitudes que j’avais en moi, mais dont j’ignorais l’existence. Les différentes fonctions que j’ai occupées m’ont donné l’occasion de les cultiver. Je me suis rendue compte que la nature du travail me plaisait et que j’appréciais l’ambiance de camaraderie. À l’époque, au début des années 2000,  être une femme dans le milieu de la production qui est majoritairement masculin, c’était un défi personnel en soi, mais je m’y suis tout de suite sentie à l’aise et je suis fière d’avoir persévéré.

Qu’est-ce qui vous procure de la satisfaction dans le cadre de votre travail?

J’aime en apprendre le plus possible pour être capable de me débrouiller dans différentes situations auxquelles il faut s’adapter. Ça me permet d’avoir une vue d’ensemble. Quand je repense, par exemple, au démarrage du laminoir alors que l’usine était en construction, c’était possible d’apprendre à connaître la machine de fond en comble. Le laminage du fil est un procédé que je trouvais intéressant. Ça m’a permis d’apprendre une foule de choses que je ne connaissais pas, comme la lecture des plans ou la compréhension de schémas, grâce aux électrotechniciens et aux mécaniciens qui voulaient bien me transmettre leurs connaissances. J’ai beaucoup aimé ça!